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A la santé des Villes européennes du vin 2024!

En cette année, je me suis rapproché des villes européennes du vin 2024! L’occasion de découvrir unerégion viticole méconnue que j’apprécie plus que jamais. Et qui recouvre aussi l’aile est du Piémont, celle du timorasso de Derthona, le futur «Barolo Bianco».

Avant Pâques, du 20 au 25 mars, ce sera le salon Divinum, à Morges. Des vins du coin à déguster, bien sûr, mais de toute la Suisse et de l’étranger: après Sauternes, les grands crus classés de 1855 du Médoc. Voilà qui devrait apprendre aux Vaudois que les grands vins rouges sont secs, évidemment… En 1855 signes (!), ma chronique dans le magazine encore!

Et je viens de passer en automne 2023 un cap: 50 ans de journalisme professionnel à plein temps, à peu près pour moitié en salarié, dont la moitié à des postes à responsabilités, et l’autre moitié en journaliste libre.

Sur ce site, j’interviendrai encore ponctuellement en fonction de mes envies, sur des sujets comme celui des vignerons (et des caves) vaudois qui rechignent à modifier leur système d’AOC et font un blocage sur la notion de coupage. Enfin, plutôt que de vanter les mérites d’un assemblage rouge sucraillon, les Vaudois auraient tout intérêt à «sauver le soldat Gamay»…Et puis, 2023 sera peut-être la plus petite vendange jamais récoltée sur la planète vin, alors qu’en Suisse, la consommation globale de vin diminue inexorablement (comme ailleurs en Europe!). Et les Etoiles du Valais 2023, qui distinguent un 9ème vin, un liquoreux.  Ou ces chiffres sur le saké, dont les importations ont doublé en Suisse entre 2021 et 2022, alors même que les douanes ne comptabilisent plus ces importations depuis dix ans: la boisson japonaise a le vent en poupe! Même en Suisse!

Début septembre le blog les5duvin m’a demandé, comme à tous ses collaborateurs, de livrer une séquence «émotion»: la voici, qui remonte donc à près de 50 ans!

On retiendra de ma collaboration à la coopérative virtuelle, volontariste et bénévole des 5 du vin quelques chroniques:

— les trois valaisannes, sur une dégustation verticale chez Jean-René Germanier, d’un cornalin qui se positionne parmi les grands rouges bien élevés, l’amigne de Vétroz, sous la forme de la cave ancestrale, légèrement douce et liquoreuse (Mitis), mais aussi d’une plus petite cave dont on a peu parlé ces derniers temps, la Cave des Tilleuls

— mes dégustations de malvoisie d’Istrie et du cépage rouge local rustique, le Teran.

— la découverte de quelques vins blancs du pied du Vésuve, en Campanie, près de Naples; les 30 ans de la DOCG Taurasi, un très solide vin rouge à base d’aglianico…

la saga du Marsala, ce vin muté sicilien, «inventé» par un Anglais, récupéré par les Italiens, qui a passé le cap de ses 250 ans d’existence!

— la sortie du premier merlot tessinois de haut de gamme, signé Paolo Basso, le meilleur sommelier du monde 2013, à Tokyo.

Je collabore toujours au magazine encore!, le plus gros tirage de Suisse, le dimanche, à travers Le Matin-Dimanche et la Sonntagszeitung. Vous pouvez lire ici ma chronique de ce mois, Et celle de novembre… et des bulles suisses pour décembre! Puis un pinot blanc de La Côte vaudoise en février.

Mon «opus» sur les vins suisses est dans toutes les (bonnes) librairies. Et dans votre bibliothèque — qui ne l’a pas encore lu? 

Sur le site vitisphère.com, ma consœur Sharon Nagel a écrit, en mai 2023; «Pierre Thomas s’est donné comme mission d’aider et d’encourager les curieux à pousser la porte des caves aux quatre coins du pays. Entre histoire avec un grand H et familiale, il fait la part belle aux domaines en bio et biodynamie, aux femmes et aux jeunes, le tout dans une vision prospective qui positionne clairement la Suisse et ses vins dans un monde contemporain et d’avenir.»

C’est toujours le bon moment pour découvrir ma ville, Lausanne, en lecture puis à pied.

Et vous pouvez me suivre sur Facebook, Linkedin ou Instagram…

Pierre Thomas ©thomasvino.ch

trusted journalist